Je suis dérangé, je le vie mal, mais ça divertie les gens.

Je me rend compte, plus le temps passe, que j'ai vraiment des problèmes d'ordre psychologique (ou alors, je suis normal, et tout le monde est bizarre, mais ça j'en doute fort même si ça me rassurerai beaucoup).

Alors bon, pourquoi suis-je bizarre, ou du moins que fais-je qui me qualifie de bizarre?

Il n'est pas utile, ni esthétique de dresser une liste alors je vais tenter d'intégrer tout ça dans un texte, c'est mieux tout de même et peut être plus agréable a lire aussi (ça serai d'autant plus agréable a lire si j'arrivais à bien écrire, mais pour ça faudra attendre un moment).

Ah oui, tant que j'y pense, ce texte/brouillon/chiffon/contre exemple de ce que l'on peut appeler écriture, sera aussi orienter vers le sujet des péchés capitaux (et oui, personne ne fait quoi que ça soit alors bon).

Si on devait me définir, m'imposer des qualificatifs, il y aurai certainement une redondance, ou du moins un fort champs lexical en rapport avec la luxure (voilà le problèmes des péchés réglé), la paresse (on y met une deuxième couche) et finalement la gourmandise (ayé, ça suffit pour le moment). Qu'on soit clair sur un point, je ne me considère pas comme le seul a posséder ces vices, ni même que cela, je suppose qu'on y succombe tous à des degrés différents, et que l'importance du péché est un qualificatif suffisant pour résumer une personnalité sans avoir a rentrer dans le détail.

Tout d'abord, je vous emmerdes, je ne suis pas aussi dérangé que ça.

Bon un peu de sérieux, ou du moins je vais tenter d'exprimer quelque chose qui, sans avoir la prétention de penser que ceci aura le mérite d'être lu, sera au moins divertissant.

Je vais laisser le meilleur pour la fin, à savoir la luxure (comme ça vous allez devoir tout lire.... quoique, vous pouvez tout aussi bien sauter quelques paragraphes....). Alors je vais commencer par la gourmandise.

Gourmand je suis, par rapport a plusieurs chose, et toujours à des intensités différentes. On est tous relativement goinfre, mais ici on s'intéresse à moi. Je consomme systématiquement en excès, que cela soit breuvage, nourriture, stimulant, matériel ou immatériel. Je suis faible devant ce qui me donne envie et je n'ai pas la force, la volonté nécessaire pour me retenir. Je deviens acro, il m'en faut toujours d'avantage. J'ai tendance à me défendre en démontrant, ou simplement et exprimant, mon impuissance face aux éléments qui sont, ou non, a ma porté.

L'objet ou l'individu, que je désir mais que je ne suis pas capable de m'approprier, m'obsède, cette chose est toujours présente quelques part dans mes pensées, et cela ne prend fin qu'un fois l'individu ou le produit est consommé, ou bien que je trouve un remplaçant sur le/laquelle cible mes obsessions alors devenues douloureuses et omniprésentes.

La paresse est constamment visible chez moi.

Mais elle l'est pour divers raisons. Dans un premiers temps, je n'ai aucune motivation, ce manque de motivation n'est qu'amplifier par l'affreux sentiment redondant qui est de penser que « tout cela est futile ». à tout ceci faut-il encore ajouter une vive impression que tout ce qui m'arrive n'est que la faute ou le désir d'autrui, et que je ne suis qu'un ridicule pantin qui est contraint d'agir et de réagir en fonction de tout ce que le chaos universelle à décidé de lui faire subir. En conclusion a ceci, je suis paresseux, je le sais mais je n'y peux rien, j'ai la flemme de faire quoi que ça soit pour remédier à ma situation qui ne dépend pas de moi dans tous les cas.

Et pour finir, comme promis, la luxure (bon c'est du gros, alors y'aura certainement d'autres des péchés incluent dans ce paragraphe).

Le plus difficile, c'est évidemment de savoir par ou commencer avec un tels sujet, étant donnée qu'il n'y a pas de début a proprement parler.

Alors je pourrait me contenter d'énumérer des reproches hypothétiques ou qui ont déjà était prononcés.

« ça se compte en secondes » …. Je t'emmerde! Mais vraiment, tu n'imagine pas (je ne vise pas la personne en question, mais plutôt un être fictif sur lequel me déchainer) à quel point je t'emmerde, parce que si tu penses que tu vaut mieux, détrompes toi, car en vrai si c'est allé vite c'est bien parce que je voulais vite en finir pour me coucher tôt!

« non! Pas la! C'est plus haut (ou bas) » alors la aussi je vous emmerde! Je sais très bien faire la différence! Je sais qu'à cet endroit la, y'a un gros balai, et ça explique beaucoup de choses, mais si tu l'enlevais, ce balais, tu t'amuserais plus, et moi aussi par la même occasion.

« t'aurais pu m'avertir! », tu sais il va t'en falloir des vitamines vu la nuit qui s'annonce (^^).

en réalité je considère que sexuellement, je suis relativement sain. Enfin je pense ça sinon ça me ferai des problèmes suplémentaires à régler, et j'ai pas que ça a faire.

En réalité j'ai plus l'impression que j'en attend trop des gens. Et je ne suis que très difficilement comblé, rare sont les fois où, après coup, j'ai la sensation que c'était vraiment bien. Et pour être un peu plus vexant, je reste très souvent sur ma fin, j'en veux plus, et surtout un autre problème c'est que je veux ce que je ne peux pas avoir. Je deviens obsedé par ce que je veux, et ceci s'empire quand je sais que je ne l'aurai jamais. Mais c'est encore pire quand j'ai déjà eu ce que je voulais et que je me retrouve sans (moi je me comprend, en revanche je pense que pour un lecteur ça doit être galère, je suis désolé mais je ne peux pas me permettre d'être totalement franc, ni cash ici, surtout sur ce sujet).

En tout cas, je sais que serai déçu pendant un bout de temps, car ce n'est qu'avec le temps qu'on passe avec une personne qu'on commence à être satisfait, et encore, parfois le temps et l'expérience n'y changent rien malheureusement, et on reste déçu et désirant mieux.

Je pourrai en dire plus à ce sujet, mais je ne sais pas trop quoi aborder, j'ai l'impression que j'ai peut être vexer pas mal de monde déjà rien qu'avec ces derniers paragraphes.

Alors j'arrête.